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Le Togo et les relations entre l’OEACP et l’UE

A propos de la CEDEAO

Le Togo et l’Union Économique

et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA)

Le Togo maintient son attractivité auprès des investisseurs

Malgré la récession mondiale engendrée par la pandémie du Covid-19, le Togo
a démontré son agilité et sa résilience dans sa capacité à attirer toujours plus
d’investissements.

CHIFFRES CLÉS
82 ENTREPRISES EN ACTIVITÉ SOUS LE STATUT DE LA ZONE FRANCHE
+16 200 EMPLOIS NATIONAUX CRÉÉS DANS LA ZONE FRANCHE AU TOTAL
374,4 Milliards DE FRANC CFA INVESTIS EN 2020 DANS LA ZONE FRANCHE
26 ENTREPRISES EN ACTIVITÉ SOUS LE RÉGIME DU CODE DES INVESTISSEMENTS, EN 2020

Alors que le continent africain enregistre une chute de 16% des flux d’Investissements Direct Etrangers (IDE), le Togo affiche des chiffres beaucoup plus séduisants. Selon le rapport sur l’investissement dans le monde de la Conférence des Nations-Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), les IDE vers le Togo sont passés de près de 346 millions $ (191 milliards FCFA) en 2019 à plus de 639 millions $ (352,5 milliards FCFA) en 2020, soit une progression de 85% sur l’année. Le Togo se classe parmi les pays africains ayant enregistrés une hausse importante de cet indicateur malgré la récession liée à la situation sanitaire. Au premier rang des facteurs de cette croissance importante, le rapport souligne le projet d’une usine de matériaux de construction d’une valeur de 137 millions $ annoncée par le groupe CimMetal (Burkina Faso) et des investissements estimés à 100 millions $ de diverses entreprises (CIMTOGO du groupe Heidelberg, des industries du site de PIA, etc.) agréées au Code des investissements et au régime de la zone franche.
Ainsi, à la faveur des réformes audacieuses et des investissements massifs et structurants dans les infrastructures qui ont permis d’assainir considérablement le climat des affaires au Togo et de la gestion efficace de la crise du covid-19, le Togo a maintenu son attractivité auprès des investisseurs.
Par ailleurs, la mise en place d’un cadre règlementaire pour la commande publique et les partenariats public-privés ainsi que l’exécution de la Feuille de route 2025 du gouvernement, constituée de réformes et de projets d’infrastructures logistiques et socioéconomiques importants, augure une consolidation de la contribution attendue du secteur privé et de la partition que pourront les flux jouer d’IDE dans les cinq prochaines années.


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